Le Résumé de la rédac
Dans cet épisode 5 de ses chroniques, un directeur pédagogique analyse les nouvelles exigences relatives au dépôt, gestion et contrôle des certifications professionnelles, suite au décret du 6 juin 2025. Cette réforme vise à accroître la qualité et la transparence du système, mais rend également l'accès plus complexifié. Les taux d'acceptation en témoignent : environ 63,5 % pour le RNCP et 20 % pour le répertoire spécifique en 2023.
Désormais, un bon dossier doit inclure des blocs thématiques comme la transition écologique, le handicap et d'autres critères essentiels. La certification sera valable trois ans, forçant les certificateurs à démontrer l'employabilité des stagiaires. Pour les certificateurs établis, il est crucial de documenter les résultats récents, remplaçant les succès historiques peu pertinents aujourd'hui.
Les partenaires habilités se voient également soumettre à des exigences strictes, essentielles pour maintenir l'intégrité des certifications. Les contrôles se durcissent, avec des sanctions potentielles en cas de non-conformité et des vérifications externes désormais possibles.
En somme, ce décret agit comme un catalyseur pour une évolution du secteur, incitant les certificateurs et leurs partenaires à monter en compétence, tout en posant un regard critique sur le fonctionnement de la formation professionnelle en France.
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